Re: Drame social chez GM&S, sous-traitant de PSA et Renault
Publié: Dim Mai 21, 2017 6:54 pm
Après que le ministre de l'économie se pose en médiateur pour trouver une solution face au problème, ça ne me choque pas, au contraire.
Ca permet d'avoir un oeil un peu "extérieur" même si Renault est en partie détenu par l'état, de mémoire, l'objectif étant de trouver un terrain d'entente en réunissant les deux parties qui ne l'ont peut-être même pas été depuis le début.
Mais, personnellement, une entreprise qui ne reçoit plus de commande des deux constructeurs nationaux + n'en a pas des autres (groupe VW, Opel, Ford, BMW Mercedes, Toyota, Kia, Lada, y'en a une chiée en fait...) moi ça m'interpelle: pourquoi ? Est-ce qu'ils sont bons ?
Parce que sauver à tout prix une boite qui fait des pièces qui amène mon tas de ferraille préféré à squatter régulièrement le pont chez le garagiste, bof quoi
Ce en quoi je crois, moi, c'est la médiation, la discussion, le compromis, la seconde chance à condition d'être bon, mais je ne crois pas les promesses de sauvetage par l'état ou encore la viabilité des société que l'on maintient coute que coute sous perfusion à grand coups d'argent public.
Ca permet d'avoir un oeil un peu "extérieur" même si Renault est en partie détenu par l'état, de mémoire, l'objectif étant de trouver un terrain d'entente en réunissant les deux parties qui ne l'ont peut-être même pas été depuis le début.
Mais, personnellement, une entreprise qui ne reçoit plus de commande des deux constructeurs nationaux + n'en a pas des autres (groupe VW, Opel, Ford, BMW Mercedes, Toyota, Kia, Lada, y'en a une chiée en fait...) moi ça m'interpelle: pourquoi ? Est-ce qu'ils sont bons ?
Parce que sauver à tout prix une boite qui fait des pièces qui amène mon tas de ferraille préféré à squatter régulièrement le pont chez le garagiste, bof quoi
Ce en quoi je crois, moi, c'est la médiation, la discussion, le compromis, la seconde chance à condition d'être bon, mais je ne crois pas les promesses de sauvetage par l'état ou encore la viabilité des société que l'on maintient coute que coute sous perfusion à grand coups d'argent public.